… posée par Dominique (quand je n’ai pas le courage d’assumer, j’utilise son nom, c’est plus pratique) : quel est le point commun entre la Chatte de Colette et les succulents gâteaux qu’elle nous a préparés pour fêter … la Sainte-Cécile ? Ce sont des œuvres , qui peuvent être dévorées sans appétit ! La partie de ping-pong se poursuit entre celle qui boit et celui qui trinque !
On a encore pris quelques kilos, après la partie, grâce à Colette, qui nous a contraints à finir son gâteau aux pommes et l’autre aux poires. Croyez que ce gavage lui a suffi ? Non, le harcèlement s’est poursuivi quand il a fallu finir le pétillant, jusqu’à la dernière goutte !
Ne vous fiez pas aux apparences, ce n’est pas parce qu’on sourit, sur quelques photos qui suivent, que nous avons apprécié cet AFTER entre les blagues (irrespectueuses) de Dominique et le racket de Marie-Jeanne, récoltant des sous pour la tombola (qui ne fera que des perdants !)
Bon, merci quand même pour ces agréables moments, mais si on voulait passer pour un club de joueurs sérieux, c’est cuit pour notre réputation ! A vendredi … je crois, hips !
N.B : Vous saviez que « COLETTE » aime l’ALU ? Perso, j’aime bien l’appui U …
Eh! oui, la brunella vulgaris ou brunelle (non vulgaire) est une plante des herbages, légèrement pubescente (comme les blondes) , discrète (mais qui se rebiffe si on la piétine) . Sa fleur, nuancée de pourpre (surtout après un p’tit verre) est bilabiée: lèvre supérieure capuchonnée, lèvre inférieure trilobée, la classe!!! Si on la froisse, elle ne dégage aucun parfum. Ne pas la confondre avec le lierre terrestre qui hante bois et terrains incultes alors que la brunelle s’épanouit sur un terrain de haute culture à Hiersac.