Quatre ans après le dernier festival de La Rochelle, nous voilà de retour pour un TH dans cette ville que nous aimons. Le format a changé (c’est un TH3), le lieu n’est plus le même (l’espace Encan a été remplacé par la belle salle des fêtes de Villeneuve les Salines), la date s’est déplacée de fin septembre à début décembre mais qu’importe, l’accueil a été très chaleureux (il est même moins impersonnel avec le pilotage du club de La Rochelle plutôt que celui de la Fédé), les pâtisseries-maison et les boissons étaient si nombreuses qu’elles ont pu contenter tout le monde que ce soit lors du goûter et même en soirée avant de partir et nous étions très bien installés alors que demander de plus ?
Claudine et Franck, les seuls représentants du club, ont compris qu’il y aurait une sacrée concurrence avec le plateau présent. Parmi les 6 joueurs de 1ère Série, il y avait 4 SN1A, c’est-à-dire parmi les 80 premiers français (Thierry Boisard, ancien champion de France, Jacques Fournier n°38 français, Nicolas Douté, n°54 français et mon ancien collègue de Sciences Frédéric Troubat, le local de l’étape même s’il reste licencié au club de Chamalières, à côté de Clermont-Ferrand) et 2 classés en 1B, Jacki Parpillon, qu’on ne présente plus et bibi (j’vais pas me présenter non plus 🙂 ). La présence de 7 SN2 (du calibre de Jean Dol ou le couple Baumann du Bouscat) et de 9 SN3 (du niveau de Claude-Annie Marchand, à la limite de la 2ème série ou de Wilfrid Gauthier, non, là j’déconne 🙂 ) et surtout de tous les autres joueurs, permettant de monter à 103 joueurs, a dû contenter François Aubin, le président du club, et de toutes celles et tous ceux qui ont contribué à la réussite de ce tournoi.

Partie 1 tirée par Jean-Marie Tinevez – 6 scrabbles – 21 coups – top : 986

Mieux valait être bien réveillé ce matin-là car la partie, sacrément sélective, va dessiner le classement final.

Après un début en douceur avec DODUS (difficilement trouvé par Franck) puis VONT, premier col de 1ère catégorie à passer avec le tirage [TURPEHS]. On ne peut pas écarter la possibilité d’un scrabble en appui (il n’y en a pas mais ça, on ne le savait pas avec Claudine). Si on ne quadruple pas avec une jolie STROPHE, on perd 20 points avec HURES, voire 22 avec … PURES pour Claudine.

Le 1er scrabble, dans la foulée, ne pose pas problème aux J35 mais il valait mieux le voir car le scrabble unique RÉMUNÉRA, prenait 39 points sur une ARMURE, qui commençait à se fendiller.

Au coup 6, arrive le premier col Hors-Catégorie (HC). Il vous reste E-H-Q et vous prenez Y-I-U et votre première lettre blanche. Il y a de nombreux sous-tops autour de 39-40 points, ce que fera Claudine qui … NIQUE ! A la même place, Franck a réussi à construire ENQUI(S) ou ENQUI(T) pour 60 points, ce qui rassure. Mais, il faut utiliser le Q et le Y et si possible scrabbler. Et, tout d’un coup, le prof de (P)HYSIQUE forme le seul scrabble qui passait. Mon voisin Frédéric (ancien prof de Maths-Physique) a pensé à moi quand il l’a formé. Dans les premières tables, Jacki est la principale victime de ce scrabble.

La rallonge A-BÉES (ouvertures par lesquelles l’eau tombe sur la roue d’un moulin) fait douter nos 2 compères. Claudine, prudente, assure 72 points avec E(M)MȆLAS et Franck se dit qu’il ne peut pas inventer ABÉES et joue le top MÊLAS(S)E, pour 82 points. L’arbitre choisit PELÂMES (en 1I) pour les rallonges É-, AP-, CA-PELÂMES et toutes les autres en plus de 2 lettres.

Franck perd le top (sans regrets) sur KLIPPE (lambeau de roche dure recouvrant une roche plus tendre), qui sera un solo de Jean, qui a fait des études de géologie. Le sous-top (KÉPHIR) ne perdait que 2 points mais il a été loupé par les Berry, le monsieur gardant son KÉPI (- 5) et la madame, au bord de la mer, partant à la pêche au KRILL (- 8).

CAJOLAI, passant à 2 endroits différents pour le même score, est posé pour ouvrir le nonuple sur un I en 4ème position.

Au coup 15, Claudine et Franck loupent pour la 2587ème fois (j’exagère à peine) GWERZ, le chant traditionnel breton (pour percer son mystère, cliquer ICI). On ne perd qu’un point avec ATTIGEZ ou 2 avec TÂTEZ mais c’est vexant. Jean, voyant tardivement, ce mot se fait attraper par la patrouille JMT et prend une bulle … pour gagner un point, il est joueur le bougre 😉 !

Au coup suivant, distribution de bulles au 1/3 de la salle, avec un « tafetas » trop tentant (88 points potentiels) mais il faut rester sage avec ES (formant ÉPELÂMES) pour 47 points. Claudine est très sage puisque ses KEFTAS (tu cherches la m… ?) permettent de marquer 37 points de plus que toutes celles et ceux qui se sont pris les pieds dans le « tafetas » (le TAFFETAS, toile de soie légère, n’a qu’une orthographe).

Quand on prend un uppercut, on n’est pas frais ensuite. L’adage a été vérifié par les joueurs qui ont, cette fois-ci, mis un F de trop pour nonupler en jouant « attiffait ». Logique de tenter 176 points (pour se rattraper !), surtout quand on ne voit pas le seul scrabble jouable TAFFAIT (=travaillait), pour 97 points. Claudine et Franck passent ce nouveau col HC.

CloClo et Kiki trouvent, ensuite, le BLINDAGE permettant de gagner une cinquantaine de points sur les sous-tops.

Ouf, l’orage est passé ! JMT annonce le top, en disant « ce n’est qu’un JEU ». Quand on est à – 230 comme certaines SN2 ou à – 270 comme certains SN3, pas sûr qu’on ait assez de recul, sur le moment, pour recevoir le message … même si c’est vrai.

A l’avant-dernier coup, nous perdons 4 points, en ne croquant pas le DIAM. Pas bien grave quand on compare aux pertes sur la partie mais Franck passe, sur ce coup, de – 6 à – 10, sur une partie qui sera gagnée à … -6 !

Franck (5ème à -10) et Claudine (11ème donc dans les PP2, à -95) ont très bien joué. La partie a fait très mal puisqu’elle est gagnée par Thierry et Nicolas à -6, devant Frédéric à – 8, Jacques à -9 et bibi, un point derrière. Claude Ferber (2A) s’accroche à – 32. Derrière, le trou est fait puisque Jacki (7ème à – 68) sait qu’il va devoir s’employer pour revenir sur les 5 premiers. Les Cassart se distinguent puisqu’Alain (exaequo avec Claude-Annie Marchand) fait la barre des PP2 (13ème à -100, pile-poil) et Michelle (22ème à – 150) fait la barre des PP3. A – 250, on est encore dans les PP4 …

La pause-déjeuner est la bienvenue après ce raz-de-marée. En compagnie de Claudie Chabouty et des Baumann, nous avons pu débriefer la partie (« j’avais préparé CATA-STROPHE mais ce n’est pas tombé, mais c’est quand même arrivé », «CHA-PELÂMES, c’était bon aussi, j’aurais hésité ? », « S-TAFFAIT, ça me disait quelque chose », etc) et de parler du déplacement du ChF : « j’avais déjà réservé les logements et prévu 3 repas avec les copains », « Fabien, il est bien vénère car lui, il avait carrément déplacé le mariage d’un de ses potes », etc.

Partie 2 tirée par Bernard Proux– 5 scrabbles – 19 coups – top : 936

KATAL (en chimie, unité de mesure de l’activité d’un catalyseur) au premier coup, ne pose pas de problème à Franck, logique. Heureusement qu’il y avait un isotop KRAAL (village indigène, en Afrique du Sud) pour les non-initiés (à la physique-chimie ;-)).

Franck déguste son FRISKO avec délectation et Claudine, « so far away from LA, so far ago from Frisco » n’a que ses TIFS à poser au bout de KATAL. Le sous-top FORTIS (en montagne, terrasse soutenue par un mur en pierres) n’était pas connu de la descendante de montagnards, la  honte !

Tout le monde a construit sa petite MAQUETTE sans problème, comme quoi, ça sert d’être un peu manuel…

Après, les deux gauchos dégustent un bon ASADO (cuisson au grill, en Amérique Latine), bouffeurs de graines, fuyez !

Pas de L pour VIROLIEZ, de M pour VOMIRIEZ ni de P pour POIVRIEZ. Il faut se contenter de RIVIEZ. Nos deux compères jouent VIRIEZ de concert. VOUIEZ était le 3ème isotop.

Le R de RIVIEZ nous tend les bras pour poser un nonuple facile à dégoter. DOUTERAI est trouvé par les Hiersacais mais c’est DÉTOURAI (DÉTOURER, façonner une pièce pour lui donner son contour exact) qui est choisi par l’arbitre.

Pas de A pour CHÉLATES (CHÉLATE, en chimie, composé formé d’un corps organique et d’un ion métallique), LÂCHETÉS ou LÉCHÂTES, ni de O pour TÉLOCHES, ni de P pour CHEPTELS ou CLEPHTES (CLEPHTE=KLEPHTE, brigand des montagnes grecques) ni de Y pour LÉCYTHES (LÉCYTHE, vase grec), on se contente de poser HÈLES, sniff.

Recherche intense sur ce coup de Trafalgar en l’absence de B pour mettre sa BOUGRINE (au Québec, veste doublée), de D pour ne pas finir ENGOURDI par ce froid, ou poser des trucs sur le GUÉRIDON (petite table ronde). Pas de N non plus pour les géologues qui auraient pu voir URGONIEN (se dit d’un stade du crétacé inférieur) ni de S bien placé pour une GUÉRISON apportée par le SOIGNEUR. On a juste un S bien placé pour posé OUGRIENS (OUGRIEN, NE, se dit d’un groupe de langues de Sibérie) vu billet levé par Cloclo, grrr, qui se GOURE en désespoir de cause. Franck finit par être GUÉRI après avoir vu la plupart des scrabbles sans pouvoir les poser, double grrr. Le sous-top GOUREN (lutte traditionnelle bretonne) était inconnu de nos deux amoureux de la Bretagne.

En l’absence de N pour poser MENUISÉE, on se rabat sur un troupeau d’ÉMEUS. Franck et Claudine trouvent l’isotop ÉMISE.

Franck tope avec DÉGLUONS et Claudine, qui n’aime pas enlever la glu mais plutôt bétonner, trouve le sous-top GLUIONS.

Après une petite EXUVIE (enveloppe rejetée lors de la mue), nos deux joueurs s’offrent un CAFÉ.

Ensuite, Franck lâche Claudine pour admirer une CYANÉE (=CYANEA, très grande méduse) puis vénérer un BÉTYLE (pierre sacrée) alors qu’elle discute avec un BAYLE (berger). Après, ils ont la HAINE et se prennent le BEC.

Ça ne facilite pas la recherche du dernier mot mais Franck, tenace jusqu’au bout, trouve, sur le fil du rasoir, le magnifique RÉAPPRIS tandis que sa partenaire de club « rippas » à la dernière seconde et se prit une bonne gamelle. RAPPRIS ne passait pas sur la grille. On peut donc RAPPRENDRE ou RÉAPPRENDRE, comme on veut…

« Ne jamais écrire un mot trouvé à la dernière seconde », règle n°150 du scrabbleur aguerri mais pas appliquée la plupart du temps. Comme quoi, on peut apprendre et même réapprendre et se gourer quand même….

Nicolas tope la partie, 2 points devant Jacki … qui a enclenché la marche avant. Thierry et Jacques (4ème exaequo à – 8) sont dans le bon wagon. Par contre, Nicolas et Franck (exaequo à – 43) se font rejoindre par Claude, qui a vu tous les scrabbles (- 16 sur la partie !) et sentent le souffle chaud de Jacki-ki les talonne ! Claudine (24ème sur la partie) va reprendre quelques forces auprès du buffet toujours aussi bien garni, avant de jeter toutes ses dernières forces dans la bataille.

Partie 3 tirée par François Aubin – 5 scrabbles – 21 coups – top : 972

Le trio de tête (Nicolas, Thierry et Jacques), détaché à moins de 20 points du top, semble inaccessible sauf accident. Derrière à une trentaine de points, on retrouve un autre trio (Frédéric, Claude et Franck) qui se tient en 5 points et 17 points derrière, Jacki qui a entamé sa folle remontada. L’objectif de Franck est clair, rester dans les 6 premières places (synonymes de PP1), en contenant la remontée de Jacki et si possible, gratter 2 places pour terminer 4ème. Claudine, redescendue 14ème, après sa 2nde partie mitigée, va essayer de grappiller une place pour remonter dans les PP2, en rattrapant le 13ème, un certain Jean Dol, 5 points devant ! La tâche semble ardue mais faisons confiance à Claudine pour ne pas se laisser faire … et à Jean, laissons le faire 🙂 !

Au 1er coup, Claudine assure avec FIXERA, préférant marquer 44 points plutôt que d’en gagner 12, avec REFIXA, dont elle doutait, choix logique. Il faut, évidemment, préparer la bonne consonne pour P-RÉFIXA !

Les PAONNES (prononcé [pa-o-ne] 🙂 par François) sont plus simples à voir qu’ESPIONNA (-1).

Au coup 3, Franck est bien content de dégoter SMILAX (pante type salsepareille, le régal des Schtroumpfs), qui prend 1 point à SALIS, jolie collante, vue par Claudine, la spécialiste (pas des salissures mais plutôt des collantes, qui a dit « quand ça colle, c’est sale » ? 🙂 ).

Petit coup de mou de Claudine qui réussit à scrabbler (c’est bien) avec SONGEAS, mais qui perd 14 points (c’est moins bien), en ratant ROGNASSE.

Ensuite, c’est la panique de la table 1 à la table 103 … On a beau tourner les lettres ( tirage [EERRNSL]) pour trouver un scrabble, essayer de quadrupler ou de coller et on en reste à 16 points. Avec Claudine, on a bien été content de ne perdre que 6 points sur NARRÉES, mot trouvable, en faisant l’ÂNE, ce qui ne nous arrive jamais (ou presque 😉 ).

Parmi la dizaine de scrabbles en quadruple, AVALERAI est logiquement choisi pour les rallonges C- et R-AVALERAI. En jouant son « mot compte triple », Claudine ÉVALUERA ses pertes à 10 points.

Après JUTER, la liaison entre l’ordi de François et le vidéoprojecteur rend l’âme. Après des essais infructueux de relances du logiciel et même de l’ordi, l’équipe d’arbitrage se réorganise et 20 minutes plus tard, la partie reprend. François se confond en excuses mais les nombreux organisateurs de tournois dans la salle savent que personne n’est à l’abri d’un pépin technique alors on sait bien que les plus embêtés ne sont pas les joueurs. Perso, j’ai bien rigolé, en assistant à des discussions (pour rentrer de nouveau les noms) du genre « Pasca… comment ? Euh, Pascaretti, avec 2 T » puis « Ramseyer ? Mais, vous le faites exprès ou bien ? Vous pouvez pas vous appeler Martin ? ». J’avoue, je forcis un peu le trait. Allez, on se reconcentre !

Après le DÉGEL, les TULIPES repoussent … de nombreux joueurs (même parmi les premières tables) dans les cordes, comme par exemple Claudine, qui PUTTES (un coup 🙂 ça soulage) pour 12 points de moins.

En grande championne, elle se reprend bien car elle fait partie de la poignée de joueurs qui ont placé KA, en cheminée, formant S-K-A et M-A-O. Franck est déçu de voir que TAQIYA (dans l’islam, dissimulation de sa croyance en cas de danger) faisait autant que KYAT et encore plus déçu de perdre 6 points sur le top.

Au coup 12, les tables 1, 2, 3 et 4 ne voient pas le top. Claudine et Franck le jouent (DOUBLIEZ en … double appui) et gagnent 11 points sur un ZIG plus visible.

Ensuite, Franck en ÉTUDIANT prend 7 points à Claudine qui ÉTUDIAIT, pourtant, mais pas à la bonne place. Après ce coup, CloClo finira la partie au top !

Le coup suivant, vous n’avez rien devant vous et vous prenez [NUAUT?I], ma hantise, le joker avec 2 U ! Mon voisin (un adepte de Jean, sans doute) a joué l’intox, en se précipitant sur son bulletin. Franck, pas de panique, y’a 3 minutes pour trouver le scrabble. Mince, AUTUNITE (phosphate naturel que l’on trouve près d’Autun) ne passe pas. D’abord, transformons le joker en G, bon y’a rien (erreur, Jean m’apprendra en fin de partie qu’il avait construit AUGUSTIN, qui ne passait pas !) Ensuite, joker X, rien vu non plus (Jean … avait vu QUINTAUX, mais ça ne passait pas). Allez, essayons joker Q et regardons les lettres d’appui, tiens, tiens, ce E initial et d’un coup l’illumination ÉNU(Q)UAIT, ouffff ! Signalons que Claudine l’a vu au tirage (elle a tout de suite pensé au Q, la coQuine) … mais, mine de rien, ce scrabble n’a pas été vu par de nombreux joueurs, dont Thierry … et Jean, vous savez celui a vu tous les scrabbles (en appui) sauf le bon !

Au coup 18, Franck est tout content de passer de 20 à 22 points en transformant QUI en QUOI ! Il déchante rapidement car il n’a pas vu la QUEUE qui faisait pourtant 30 … points !

Franck (à – 22) sait que Jacki a la place pour le passer mais non, l’ancien président du comité J a eu aussi des scories (pas vu la QUEUE non plus) et finit à … – 22 ! Surprise à l’annonce des résultats car Claude (à – 33) n’a pas craqué (il finira à égalité avec Frédéric dans les PP1) mais je le dépasse, Frédéric a subi le milieu de partie (TULIPES, KA, DOUBLIEZ, etc) et termine à – 29 donc se fait doubler par bibi et Thierry, table 1, s’est « effondré » (pour son niveau) et, à 84 du top, est éjecté des PP1, se faisant doubler par Jacki. Franck remonte donc 3ème, ce qui était inespéré même avant le début de la 3ème partie ! Claudine a montré qu’il ne servait à rien de tout tenter (REFIXA assuré, par exemple) et en serrant le jeu, a doublé Jean (je vous avis dit qu’il ferait une partie du boulot), au sprint pour finir 13ème (yes !), soit dans les PP2, bravo CloClo !!!

Après le rangement des tables et la remise des prix (merci pour le superbe mug, rempli de friandises), nous avons fêté nos bons résultats (visibles en cliquant ICI) en terminant au restau sur le port de La Rochelle, après avoir marché un peu (paumé dans les rues piétonnes). Nous avons déjà pris date pour revenir l’année prochaine (ce sera le dimanche 7 décembre 2025), car à La Rochelle, on se marre bien quand même, la preuve en images !