Elle a toujours bon pied, bon œil, la Coco ! On ne parle pas d’une des dernières admiratrices de Georges Marchais mais de Colette, dont on ne donne plus l’âge, non pas par élégance mais parce que plus personne ne sait où elle en est (90 ? 91 ? plus ?). Elle sera la première à rougir (la Coco 🙂 ) mais le temps n’a pas de prise sur elle. Certains (certaines, devrais-je écrire) pensent qu’elle est fragile, qu’un courant d’air l’enrhume, qu’elle est hyper émotive mais ne vous trompez pas, ce n’est que la surface. Grattez un peu et vous trouverez sous la carapace (en mousse) un roc, un pic … comme on n’en trouve plus que dans le Causse Noir de son Aveyron chéri. Boosté par Tino, elle va encore fêter de nombreux anniv’, la Coco !
Merci Colette pour l’excellent gâteau (et le bon jus de pommes, bien meilleur au niveau du goût que de la vue 😉 ), qui a conclu la séance de vendredi, consacrée à la dernière partie des Simultanés de France.