Un poème qui nous parle à tous …

Ah les cons !

Je viens parler des cons sans plagier Georges Brassens
Mais là, je vous l’avoue, ma tâche n’est pas mince.
La con’rie chez certains, c’est leur seul héritage,
Elle est ancrée en eux un peu comme un tatouage.

Pour un couple de cons, il est d’une évidence
Que leur progéniture sera con de naissance.
Les cons, ils sont partout, il faut s’y résigner.
Ils sont là pour faire chier dans toutes les sociétés.

Rassurez-vous Mesdames, je n’oublierai personne
Car dans le monde entier, il y a aussi des connes.
On est tous un peu con, chacun à son niveau,
Il faut juste espérer qu’il ne soit pas trop haut.

S’il fallait mesurer le taux de la con’rie,
Ça irait de zéro et jusqu’à l’infini.
C’est pour ça que je crois qu’il y a trois sortes de cons,
Le p’tit con, le sale con et aussi le gros con.

Le p’tit con rigolo est un peu agaçant,
Il fait plein de bêtises mais il n’est pas méchant.
Le sale con quant à lui est beaucoup moins marrant,
Il ne pense qu’aux conneries et en est énervant.
Et enfin le gros con, lui, est indécrottable
Et son taux de connerie est incommensurable.

Au niveau d’la connerie, je pense bien m’y connaître.
J’en ai une bonne dose mais je ne suis pas le maître.
Certains touchent des sommets et sont inatteignables
Et je suis convaincu qu’ils seront imbattables.

Les cons ils sont partout, le monde est ainsi fait,
La connerie ne sera jamais éradiquée.
Qu’il n’y ait plus de cons, bien sûr, on le voudrait
Mais sans eux sur la Terre, je pense qu’on s’ennuierait.

Dominique

2 commentaires sur “Un poème qui nous parle à tous …

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